Stephen C. Burroughs

Burroughs n'est pas capable de se battre à proprement parler mais il a créer un programme capable de soumettre à sa volonté ceux qu'il réduit sous la forme de donnée à l'aide d'une machine comparable à celle de l'ordinateur d'Ansem, celle qui permet d'aller à Space Paranoid. Une fois "invoqué" le sans-coeur en question est entièrement sous le contrôle de Burroughs (même si les êtres des Ténèbres sont capable de pertuber son fonctionnement). Burroughs ne peut en utiliser que 2 en même temps.
Actuellement, Burroughs en utilise 3 différents :
-Nebiros qui utilise principalement la magie pour ralentir ses adversaires voire les stopper complètement si ils sont particulièrement faible. Le seul autre sort qu'il est capable d'utiliser est juste douloureux.
-Nergal un sans-coeur de grande taille se battant avec une dague. Endurant et rapide.
-Vetala qui est est capable de créer des barrières protectrice autour de ces alliés. Généralement utilisé pour protéger Burroughs.

Burroughs ayant appris à créer des portails est capable de se téléporter sur une courte distance en cas d'urgence. Il doit attendre 5 minutes entre les téléportations.

Trouvez le moyen d'arrêter la menace des discordians.

Burroughs a et a toujours été passionné par la science, d'aussi loin qu'il s'en souvienne et travaillez dans ce domaine à toujours été son rêve mais la concurrence est rude dans son monde d'origine : là-bas, la société obéit à des règles bien darwiniennes. Les succès et les capacités d'un individu sont considérés plus dignes de respect que les accomplissements d'un groupe. Là-bas, les scientifiques font partie des métiers les plus respectés, à cause de la concurrence omniprésente entre collègues. Ironiquement, malgré une société encourageant le conflit, les projets militaires n'ont qu'une importance très secondaire mais c'est en grande partie parce que les grandes batailles qui façonnaient le destin de ce monde se déroulait dans les tribunaux et les bureaux des pdg influents.
Burroughs aimait les défis que ses employeurs lui lançaient et rivalisé avec ces collègues afin de développer la technologie optimale était devenu un art pour lui mais ce qui l'a toujours intéressé était de satisfaire sa curiosité : avec une attitude plus contemplative que la moyenne, il n'a jamais réussi à vraiment attirer l'attention du monde scientifique, malgré ses capacités exceptionnelles.
Les dérèglements qui arrivèrent avec les discordians réalisèrent son voeu indirectement : grâce à eux, il avait dorénavant la possibilité de savoir comment le temps et l'espace fonctionnent ! Quel scientifique ne serait pas enthousiaste à cette idée ?
Les applications possibles rendirent le monde financier tout aussi heureux, si ce n'est plus.  
Presque immédiatement des équipes furent créer pour étudier les discordians avec des budgets colossaux. Clairement, le rêve de tout scientifique qui se respecte et c'est à ce moment-là que ses supérieurs lui dénièrent l'apogée de sa carrière.  Les raisons furent simples : ce n'était pas tant qu'on ne croyait pas en ses capacités mais plutôt qu'il serait plus utile sur son projet actuel, une machine capable de contrôler les sans-coeurs, une menace bien plus grande comparée à la présence marginale des discordians.
A partir de ce moment, la seule possibilité pour lui fut de les étudier lui-même. Il mit plusieurs années avant d'obtenir le moindre résultat : les zones affectées par les discordians étaient limités aux scientifiques et il fallait les trouver avant eux - des semaines passaient parfois où il ne pouvait rien faire sinon revoir ses notes -. Obsédé par ses recherches il procéda à une expérience sans penser aux conséquences : il envoya son ordinateur, sa thèse, toutes les données qu'il a collectées dans le passé.
Le paradoxe provoqua un désastre aux dimensions monstrueuses.
Les dégâts furent tels que de nombreuses vies furent tout simplement "effacées"; des bâtiments ont fait des bonds dans le temps jusqu'à devenir insalubre ou au contraire remontèrent jusqu'à n'être plus que leurs fondations. En d'autre mots, c'est un miracle si Burroughs est encore en vie ou plus généralement, que les perturbations n'ont affecté que son monde d'origine.
La seule chose que Burroughs peut faire de son semblant de vie maintenant est tenté d'empêcher les gens de faire la même erreur que lui en trouvant le moyen de faire disparaître définitivement les discordians de la surface de l'univers. Burroughs se rend bien compte que la tâche est loin d'être aisé, voir même peut-être impossible mais avec les fruits des efforts de son alter-égo il est déjà capable de manipuler l'espace pour voyager entre les mondes, en en apprenant plus sur les discordians son champ d'action s'élargira ?

Le portail qu'y s'ouvrit avait été difficile à mettre en place même avec toutes les données que Burroughs a à sa disposition.  Ce qu'il avait ouvert était le résultat de ses études : Un trou de ver capable d'envoyer quelqu'un dans un endroit et moment précis de l'univers - la dernière partie étant à la condition que l'endroit en question sois sous l'influence d'une boucle temporelle -. Ironiquement, de tels paradoxes sont exactement ce que Burroughs cherche à arrêter mais malheureusement, la fin justifie les moyens et les portails sont des sujets d'expérimentations bien plus stable que les discordians en général.
L'expérience d'aujourd'hui - Ou c'elle d'il y a un mois ou dans un ans ? Le présent est aussi un sujet intéressant à cause des problèmes qui secouent l'univers. - consiste à introduire un élément étranger dans la boucle, autrement dit, Burroughs lui-même afin d'observer ce que le changement produit.
Presque immédiatement, les discordians ont commencé à apparaître en tordant les angles en des choses qui aurait rendu Euclide complètement fou, rendant la plupart des attaques conventionnelles complètements inutiles tout compliquant considérablement une tentative de fuite qui aurait déjà été plutôt difficile vu l'handicap de Burroughs.
Dans de tels condition, le seul capable de le protéger avec plus ou moins d'efficacité était Nebiros, qu'il invoqua sans tarder. Le sans-cœur sous son contrôle immobilisa de suite les discordians à l'aide de sa magie. Dans les quelques minutes qui suivirent, le seul sons qui retentit fut celui du clavier de Burroughs en train d'analyser les données présentes. Avec un soupir, il ordonna à Nebiros de détruire les paradoxes avant d'ouvrir un portail pour un autre monde.
A son grand chagrin, il allait devoir conduire des expériences plus risquées.